Nos spectacles d'humour
Aime le mot dit
De et par Jean‐Claude
Duquesnoit.
Prix du public au Festival Humour et Théâtre
(Vienne 2000)
Aime le mot dit est un avant tout un spectacle où il fait bon rire, un hymne au langage, une joute verbale subtile et incongrue en liaison directe avec l'actualité. Aime le mot dit, c'est l'apologie du mot piégé, honteusement détourné de son sens initial, utilisé au deuxième, troisième voir quatrième degré. Spectacle météorique affreusement drôle, ce badinage artistique écrit avec rigueur est un poil à gratter indispensable à tous ceux qui sont intimement persuadés que l'humour reste la seule forme efficace de légitime défense contre les réalités de la vie.
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Aime le mot dit est un avant tout un spectacle où il fait bon rire, un hymne au langage, une joute verbale subtile et incongrue en liaison directe avec l'actualité. Aime le mot dit, c'est l'apologie du mot piégé, honteusement détourné de son sens initial, utilisé au deuxième, troisième voir quatrième degré. Spectacle météorique affreusement drôle, ce badinage artistique écrit avec rigueur est un poil à gratter indispensable à tous ceux qui sont intimement persuadés que l'humour reste la seule forme efficace de légitime défense contre les réalités de la vie.
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Marianne dans tous ses etats
Textes de : Jean Claude
DUQUESNOIT. Textes additionnels : Maurice Horgues, Edmond Meunier.
Musiques de Frédéric DESMARCHELIER
Mise en scène : BONBON.
Interprètes : Jean-Claude DUQUESNOIT & BONBON
Les guirlandes sont en place. Le vin blanc est au frais. Tout est prêt pour la commémoration. Il y a cinquante ans, le café des travailleurs ouvrait ses portes. C’était le 4 octobre 1958, jour de la promulgation de la constitution de la cinquième république. Derrière son bar, MARIA, prépare l’événement. A ses côtés, JEAN-CLAUDE, pilier de bar intarissable, fidèle parmi les fidèles et mémoire du lieu. Au travers de l’histoire de ce bistrot populaire, c’est l’histoire de la cinquième république qui sera évoquée. Parmi les événements passés en revue : la guerre d’Algérie, Mai 68, la libération des mœurs, l’alternance… Mais aussi d’autres épisodes apparemment anecdotiques qui ont bouleversé en profondeur notre mode de vie. Réflexion piquante et drôle sur un demi siècle de politique, ce spectacle est avant tout une satire mordante des princes qui nous gouvernent.
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Musiques de Frédéric DESMARCHELIER
Mise en scène : BONBON.
Interprètes : Jean-Claude DUQUESNOIT & BONBON
Les guirlandes sont en place. Le vin blanc est au frais. Tout est prêt pour la commémoration. Il y a cinquante ans, le café des travailleurs ouvrait ses portes. C’était le 4 octobre 1958, jour de la promulgation de la constitution de la cinquième république. Derrière son bar, MARIA, prépare l’événement. A ses côtés, JEAN-CLAUDE, pilier de bar intarissable, fidèle parmi les fidèles et mémoire du lieu. Au travers de l’histoire de ce bistrot populaire, c’est l’histoire de la cinquième république qui sera évoquée. Parmi les événements passés en revue : la guerre d’Algérie, Mai 68, la libération des mœurs, l’alternance… Mais aussi d’autres épisodes apparemment anecdotiques qui ont bouleversé en profondeur notre mode de vie. Réflexion piquante et drôle sur un demi siècle de politique, ce spectacle est avant tout une satire mordante des princes qui nous gouvernent.
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Duquesnoit cherche la petite bête
De et par Jean-Claude
Duquesnoit et Adrian Iordan.
Après avoir étudié l’animal politique, DUQUESNOIT cherche la petite bête et réétudie les travaux du naturaliste Carl Von LINNE. Tour à tour conférencier déjanté, zoologue pinailleur et tatillon, entomologiste rêveur et excentrique où ornithologue étrange et saugrenu, il revisite en vers (et contre tout !) la classification du vivant de son illustre ancêtre, maniant avec une verve érudite et caustique, l’alexandrin avec autant d’aisance que son arme préféré : l’humour. Pégase du calembour, il joue sur les mots, se joue des mots, les détourne pour en tirer l’humoristique moelle. Soutenu par son assistant musical, Adrian IORDAN, il vous présente un bestiaire machiavélique propre à séduire jeunes loups et vieux renards. Qui gravira la première marche du podium ? L’homme, Le lion, l’éléphant, l’ours, le chat ou tout autre ? L’animal n’est-il qu’un homme comme les autres ? Un univers original 100% animalier, une réflexion piquante et drôle sur la place de l’animal dans la création, un spectacle sans le moindre temps mort destiné in fine à vous faire rire, sourire et parfois même apprendre quelques trucs sur la classification des espèces.
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Après avoir étudié l’animal politique, DUQUESNOIT cherche la petite bête et réétudie les travaux du naturaliste Carl Von LINNE. Tour à tour conférencier déjanté, zoologue pinailleur et tatillon, entomologiste rêveur et excentrique où ornithologue étrange et saugrenu, il revisite en vers (et contre tout !) la classification du vivant de son illustre ancêtre, maniant avec une verve érudite et caustique, l’alexandrin avec autant d’aisance que son arme préféré : l’humour. Pégase du calembour, il joue sur les mots, se joue des mots, les détourne pour en tirer l’humoristique moelle. Soutenu par son assistant musical, Adrian IORDAN, il vous présente un bestiaire machiavélique propre à séduire jeunes loups et vieux renards. Qui gravira la première marche du podium ? L’homme, Le lion, l’éléphant, l’ours, le chat ou tout autre ? L’animal n’est-il qu’un homme comme les autres ? Un univers original 100% animalier, une réflexion piquante et drôle sur la place de l’animal dans la création, un spectacle sans le moindre temps mort destiné in fine à vous faire rire, sourire et parfois même apprendre quelques trucs sur la classification des espèces.
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Le monde de mes mots
De et par Jean-Claude
Duquesnoit.
Magicien du verbe, chirurgien du dictionnaire aux pratiques peu orthodoxes, Jean-Claude DUQUESNOIT taille et lacère à grands coups de scalpel comique les mœurs de ses contemporains. Acrobate mental, il nous propose un exercice de haute voltige verbale sans filet de sécurité.
Jour après jour, il épluche la presse pour en tirer l’humoristique moelle. Mots affûtés, regard acéré, Jean-Claude DUQUESNOIT tape sur tout ce qui bouge. Des formules qui cinglent, un sens de l’absurde très sûr, des trouvailles verbales enchaînées sur un rythme de mitrailleuse en folie, els sont les ingrédients de ce spectacle météorique sans un seul temps mort.
Artisan de la petite blague, ouvrier spécialisé de la plaisanterie minuscule, Jean-Claude DUQUESNOIT façonne les mots comme un sculpteur, soucieux du sens comme de la mélodie. Mots cœurs, mots cris, mots d’émoi et des mots des autres, ce spectacle est un florilège de ses meilleurs textes.
"LE MONDE DE MES MOTS" : un spectacle enlevé, percutant, malicieux, brillamment satirique, souvent poétique, un spectacle pertinent et impertinent particulièrement conseillé à ce qui ne craignent pas de regarder les choses en farce.
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Magicien du verbe, chirurgien du dictionnaire aux pratiques peu orthodoxes, Jean-Claude DUQUESNOIT taille et lacère à grands coups de scalpel comique les mœurs de ses contemporains. Acrobate mental, il nous propose un exercice de haute voltige verbale sans filet de sécurité.
Jour après jour, il épluche la presse pour en tirer l’humoristique moelle. Mots affûtés, regard acéré, Jean-Claude DUQUESNOIT tape sur tout ce qui bouge. Des formules qui cinglent, un sens de l’absurde très sûr, des trouvailles verbales enchaînées sur un rythme de mitrailleuse en folie, els sont les ingrédients de ce spectacle météorique sans un seul temps mort.
Artisan de la petite blague, ouvrier spécialisé de la plaisanterie minuscule, Jean-Claude DUQUESNOIT façonne les mots comme un sculpteur, soucieux du sens comme de la mélodie. Mots cœurs, mots cris, mots d’émoi et des mots des autres, ce spectacle est un florilège de ses meilleurs textes.
"LE MONDE DE MES MOTS" : un spectacle enlevé, percutant, malicieux, brillamment satirique, souvent poétique, un spectacle pertinent et impertinent particulièrement conseillé à ce qui ne craignent pas de regarder les choses en farce.
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Autant en emporte le ventre - cabaret bouffe
Textes de : Jean Claude
DUQUESNOIT mais aussi de Bruno COPPENS, Pierre GILBERT, Jean POIRET,
Pierre Jean VAILLARD…
Musiques de Frédéric DESMARCHELIER
Au service : Jean Claude DUQUESNOIT. Au piano : Frédéric DESMARCHELIER. Mise en sauce : Denis CACHEUX
Brilllat Savarin disait "Dis moi ce qui tu manges je te dirais qui tu es. "
"Autant en emporte le ventre" est un éloge de la bonne bouffe avec ses excès ses et débordements, une apologie de la gloutonnerie, une balade humoristique au pays de la bonne chère, un festin littéraire et culinaire où textes et chansons se succèdent en services harmonieusement composés pour le plus grand régal de l'imagination. Épicuriens, gourmets et gourmands : réjouissez-vous ! Au service : un comédien au palais sensible, des textes bien en bouche… Au piano : un artisan chargé de porter la note au spectateur gourmand. En coulisse, le Maître-queue Denis Cacheux, qui par sa mise en sauce, a su associer pour le meilleur et pour le rire ces deux personnalités aussi différentes que complémentaires. "Autant en emporte le ventre" : un spectacle aux multiples saveurs, un art des mets mijoté à feu doux à déguster sans aucune modération, une recette inventive et originale qui devrait sans nul doute obtenir au plus vite sa troisième toque au guide des mots gourmands.
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Musiques de Frédéric DESMARCHELIER
Au service : Jean Claude DUQUESNOIT. Au piano : Frédéric DESMARCHELIER. Mise en sauce : Denis CACHEUX
Brilllat Savarin disait "Dis moi ce qui tu manges je te dirais qui tu es. "
"Autant en emporte le ventre" est un éloge de la bonne bouffe avec ses excès ses et débordements, une apologie de la gloutonnerie, une balade humoristique au pays de la bonne chère, un festin littéraire et culinaire où textes et chansons se succèdent en services harmonieusement composés pour le plus grand régal de l'imagination. Épicuriens, gourmets et gourmands : réjouissez-vous ! Au service : un comédien au palais sensible, des textes bien en bouche… Au piano : un artisan chargé de porter la note au spectateur gourmand. En coulisse, le Maître-queue Denis Cacheux, qui par sa mise en sauce, a su associer pour le meilleur et pour le rire ces deux personnalités aussi différentes que complémentaires. "Autant en emporte le ventre" : un spectacle aux multiples saveurs, un art des mets mijoté à feu doux à déguster sans aucune modération, une recette inventive et originale qui devrait sans nul doute obtenir au plus vite sa troisième toque au guide des mots gourmands.
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Duquesnoit prend la clef des chants
Textes de : Jean
Claude DUQUESNOIT
Musiques de Frédéric DESMARCHELIER «Duquesnoit prend la clef des chants» alterne chansons d’humour et réflexion personnelle sur l’actualité, une réflexion piquante et drôle qui prend parfois l’allure de satire sociale.
Mots affûtés, regard acéré, Jean Claude Duquesnoit tape sur tout ce qui bouge. Toujours drôle, souvent très drôle, quelquefois irrésistible, il surfe sur les expressions, rebondit sur les formules, joue sur les mots, les détourne, les triture jusqu’à en tirer l’humoristique moelle. Tantôt rose, tantôt noir, son humour subtilement dosé, pétille d'inventions étranges.
Mots cœurs ou mots cris, ce qui est dit n'est que la partie visible de l'iceberg. La majeure partie du discours demeure implicite. Le spectateur doit compléter le puzzle en s'appuyant sur une solide culture générale et un solide sens de l’autodérision.
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Musiques de Frédéric DESMARCHELIER «Duquesnoit prend la clef des chants» alterne chansons d’humour et réflexion personnelle sur l’actualité, une réflexion piquante et drôle qui prend parfois l’allure de satire sociale.
Mots affûtés, regard acéré, Jean Claude Duquesnoit tape sur tout ce qui bouge. Toujours drôle, souvent très drôle, quelquefois irrésistible, il surfe sur les expressions, rebondit sur les formules, joue sur les mots, les détourne, les triture jusqu’à en tirer l’humoristique moelle. Tantôt rose, tantôt noir, son humour subtilement dosé, pétille d'inventions étranges.
Mots cœurs ou mots cris, ce qui est dit n'est que la partie visible de l'iceberg. La majeure partie du discours demeure implicite. Le spectateur doit compléter le puzzle en s'appuyant sur une solide culture générale et un solide sens de l’autodérision.
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